Dans les yeux de Léna, invite, par le biais d'un conte poétique à renouveler le regard que nous portons sur la personne handicapée et, plus largement, sur ceux qui nous troublent par leurs différences. Dans les yeux de Léna, propose plusieurs niveaux de lecture, le premier, évident est celui d'un conte onirique. Le second est métaphorique, Dans les yeux de Léna, c'est la mise en scène poétique d'un handicap bien réel : le syndrome de Rett.
Once upon a time, there was a mischievous little rabbit. Maybe you know him. When his mother said: 'Tomorrow is your first day of school, little rabbit.' he replied: 'I'm not going!'
The hilarious follow-up to }Poo Bum{ sees Simon struggling to adjust to life with a new baby in the house. Ages: 3+
dans les yeux de léna, le monde s'arrête parfois.
elle doute, elle rage. elle ne comprend pas. léna pense, léna tombe, léna crie. le corps poursuit sa route sans l'esprit, alors qu'avant tout était si facile. avant. quand je parlais la même langue que toi mon enfant.
autrefois, la nuit était noire, absolument noire.
c'était le domaine des esprits mauvais.
tous les jours, coton glanait les fleurs.
toutes les nuits, coton rêvait sa liberté.
Il était une fois. un jeune garçon qui se lia d'amitié avec sa mystérieuse voisine de palier: une enfant de la lune. Alors chaque soir, ils jouaient à rêver. À rêver de belles aventures en dépit des blessures, des brûlures. Et toujours bienveillante, accrochée au décor, la lune écoutait. Mais à trop vouloir, ils finiront par y croire, oubliant les dangers. La réalité va alors les rattraper.
When Simon the Super Rabbit takes his cars over to his friend Ferdinand's to play, the two little rabbits decide to make a trade-all three of Simon's cars for Ferdinand's "extraordinary" red car. But as soon as Simon plays with his new toy, CRACK! it breaks! Did Ferdinand play a trick on him? Simon has an idea . . . a terrible, horrible, wonderful idea! But will Ferdinand fall for Simon's trick and not only return his three cars, but also discover Simon's-gross!-surprise? Stephanie Blake-author-illustrator of I Don't Want to Go to School!-has spun a true-to-life tale of friendship with laugh-out-loud results.
Once there was a little rabbit who only wanted to eat one thing.SPAGHETTI!
Le Dévoreur du Silence est un conte sur la douleur de l'absence, et le silence des adultes qui emprisonne les enfants plus sûrement qu'une cage.
Dans cette histoire, le papa est absent, il pourrait être en prison, gravement malade, ou en hôpital psychiatrique : ce qui importe, c'est le silence étouffant que l'entourage met en place dans l'espoir de protéger l'enfant. Pourtant, il a peut-être besoin d'entendre la vérité, ou que l'on réponde à ses questions, surtout si le sujet est grave.
Mettre des mots sur une situation effrayante, dire sa peur, sa tristesse ou sa colère, c'est déjà faire reculer l'Ombre.
En prison ou en hôpital psychiatrique, le maintien du lien familial est essentiel, à la fois pour celui qui est enfermé et pour leurs enfants. Ce lien est nécessaire à leur équilibre, à la construction de leur identité, à leur appréhension du monde.
Axel et Alex sont jumeaux, princes d'un royaume paisible et uni.
Ensemble ils découvrent la vie, ensemble ils grandissent, deux princes pour le même royaume. Resteront-ils unis lorsque le temps de régner sera venu, lorsque les conseillers les dresseront l'un contre l'autre oe La soif du pouvoir sera-t-elle plus forte que leur lien fraternel ?
Dans la savane vivait une famille de zèbres.
Comme tous les zèbres, ils étaient blancs avec des rayures noires. Mais un beau matin, naquit un petit zèbre avec des pois tout noirs.
Quatre jours de fête dans toute la ville d'Amiens. Le Théâtre de rue est le théâtre des artistes-artisans et cette année, les spectacles seront construits avec vous ! Pas moins de six nouvelles créations seront fabriquées in-situ, dans les quartiers, en étroite collaboration avec les populations locales. Ainsi, le festival se déroulera dans tous les quartiers d'Amiens, une implication de la population y sera recherchée, le spectacle aura lieu dans leurs espaces de vie. On va fabriquer du rêve, de la mémoire, du spectacle. Partout, chez vous, dans les usines, dans les rues, les immeubles... Et toujours des compagnies françaises, nationales, internationales, des grosses, des moyennes et petites formes...